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and now my watch begins. (sonya)


Sonya Hawkins
( super adminette )
Sonya Hawkins
posts : 233 points : 151
name : valyria, aurélie.
faceclaim : clarke. ©wolfgang
multinick : emery ryswell, l'ex taularde.
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âge : thirty years old.
job : editor-in-chief, workaholic.
heart : married, feel so lonely.

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( Dim 25 Déc - 21:12 )

( feat emilia clarke )
sonya hawkins
When the sun rises in the west and sets in the east. When the seas go dry and mountains blow in the wind like leaves. When my womb quickens again, and I bear a living child.

nom, prénom Grayson, un nom d'une grande réputation grâce à leur fortune mais aussi à la création de Uprising, célèbre magazine féminin canadien. Mais la brune a abandonné son nom de jeune fille pour Hawkins, celui de son époux qui ne porte pas moins la même réputation. Un autre héritage de sa famille, le prénom de sa grand-mère maternelle Sonya qu'elle porte à la mémoire de cette fabuleuse femme de caractère.
âge, naissance Ses yeux couleur océan se sont ouverts pour la première fois sur les doux paysages d'Ottawa et c'est cet air frais qui a enivré ses narines de bambins le vingt-neuf mars, un soir de printemps. Cette ville qui l'a vu grandir depuis maintenant trente années. Celle qu'elle se plait à appeler dans un murmure sweet home.
nationalité, origines C'est de part sa naissance sur les terres canadiennes qu'elle a eu la nationalité de ce pays. Mais les fins traits de son visage angéliques trahissent le côté méditerranéen de ses origines, dont elle a hérité de ses ancêtres italiens la particularité d'avoir le sang très chaud.
orientation sexuelle C'est sans nul doute que son attirance s'éprend pour les hommes, en particulier un qui fût son premier grand amour et maintenant mari. Elle est donc hétérosexuelle malgré qu'on puisse compter quelques dérapages parmi ses années universitaires.
statut civil Ils étaient jeunes, ils étaient insouciants. Plein de rêves, plein de projets. La brune est mariée depuis maintenant sept années. Peut-être trop jeunes, peut-être trop tôt. Sonya est en proie aux incertitudes. Une flamme pratiquement éteinte, conséquence d'une monotonie dévastatrice. Un cercle vicieux qui se répètent jour après jour et à l'infini. Ils s'aiment toujours, mais ont perdu la flamme des premiers instants.
argent, métier ($$$$$$) D'une renommée internationale pour ses talents et son excellent travail, elle est rédactrice en chef chez Uprising, le magazine familiale dirigée par son père. Sa réputation est à l'image du fameux film The Devil Wears Prada. Malgré la fortune familiale, elle a construit elle-même son compte en banque et, avec son mari, possède désormais un bon patrimoine.
Elle est élégante, souriante à souhait, agréable et digne. C'est quelqu'un de réservé et attentionné à son image. Une jeune femme soignée et réfléchie. Sonya est extrêmement exigeante envers les autres mais encore plus pour elle-même. Elle a cruellement besoin de reconnaissance, surtout en provenance de son père. Mais au plus profond de son être, c'est une petite boule intrépide bouillonnant d'énergie, de dynamisme et de spontanéité et qui semble être étouffé depuis des années à cause de son environnement. Le coeur sur la main, sa générosité est sans conteste et sa tendresse inégalable quand on sait l'apprivoiser.
c'est ma série
the walking dead
c'est mon film
orgueil et préjugés
c'est ma chanson
summertime sadness


(un.) Fille de riche famille, les Grayson, Sonya n'a jamais vécu dans le manque. Elle aurait très bien pu devenir une petite fille pourrie gâtée et capricieuse. Mais au contraire, elle est toujours restée humble et simple, se détachant financièrement au fur et à mesure de sa famille pour pouvoir créer sa propre renommée. (deux.) Sonya refusera de l'admettre mais au moindre coup de coeur brisé, elle a un rituel pathétique bien ancré dans ses moeurs. Elle regarde les trois films Bridget Jones, suivi de près par Dirty Dancing, avec son pot de Ben & Jerry's saveur cookies ou brownies et optionnellement un verre de vin suivant la gravité émotionnelle de la situation. Et en cas d'ultime désespoir, elle peut se mettre à chanter du Whitney Houston avec sa brosses à cheveux en guise de micro, se prenant pour une véritable étoile montante des années 80. (trois.) A la moindre contrariété ou dès que quelque chose, même bénin, la tracasse, Sonya se met au fourneaux et confectionne des pâtisseries. Autrefois, elle rêvait d'en faire son métier. Attention, pas des assiettes gastronomiques mais bien des petites gourmandises sucrées. C'est un moyen de se vider la tête et de canaliser son trop plein de stress. Gâteaux, meringues ou sablés... Et plus il y en a, plus la situation donne matière à s’inquiéter. (quatre.) Rédactrice en chef chez Uprising, un célèbre magazine canadien fondé par ses ancêtres, elle est connue pour son excellence et sa rigueur au travail. Souvent associée au terrible personnage de Meryl Streep dans Le Diable s'habille en Prada, c'est une réputation qui l'affecte et dont elle souffre énormément malgré les apparences. (cinq.) Son premier grand amour, son mari. Ils se sont rencontrés très jeunes, à l'université, et c'est comme si la foudre avait traversé leur corps, leur âme, leur coeur. Comme des aimants, l'un n'allait pas sans l'autre. C'était fusionnel et passionnel. La fougue des premiers instants, l'harmonie de deux coeurs à l'unisson. Très vite, ils ont vu l'évidence. Très vite, ils se sont aimés. Trop vite, ils se sont mariés. Sept années se sont écoulés. Ils ont connu le meilleur mais le pire reste à venir. Leurs rêves d'antan ont laissé place à la réalité de la vie active. Les projets florissants des premiers instants se sont évaporés. Des caresses qui deviennent des souvenirs. Des baisers qui ne laissent qu'un goût amer. Un amour qui se prend pour acquis et qu'on oublie d'entretenir. Puis elle arrive, plus vite qu'on ne l'espérait et sans qu'on ne l’aperçoive : la monotonie. (six.) La brune prend son rôle d'aînée très au sérieux et tente de véhiculer à chaque instant la meilleure image possible pour ses frères et soeurs. Montrer le bon exemple, être un modèle et la voix de la sagesse qui les guide parmi leurs doutes. C'est une responsabilité qu'elle s'auto-inflige. Ses frères et soeurs sont les plus importants, mais elle a parfois du mal à exprimer ses sentiments et elle s'y prend peut-être maladroitement. C'est probablement la conséquence d'une éducation stricte de la part de ses parents, ne dit-on pas qu'on est toujours plus exigeant avec les premiers ? De ce fait, elle est très rigide et exigeante avec elle-même, ne laissant aucune place pour la spontanéité. Sonya, c'est comme un oiseau en cage qui n'attend que d'être libéré et qui, pour l'instant, reste domestiqué. (sept.) Une autre de ses passions, mis à part la pâtisserie, c'est en particulier les films d'horreur. Oui, les films à l'eau de rose, c'est uniquement les grands classiques et en période de déprime. Les films d'horreur sont beaucoup plus intéressants. Bien que les scénarios sont vraisemblablement pareil qu'importe le film, elle aime quand même frisonner de peur, pour les rares films qui la surprenne. Ca lui donne une certaine adrénaline qui lui manque au quotidien. Non, elle n'est pas folle. Juste un poil différente, ce qui fait sa particularité. La série game of thrones est l'un des sujets de conversations avec son frère aîné qui pourrait durer des heures, chacun exposant toutes sortes de théories parfaitement structurées. (huit.) Il y a quelques semaines, Sonya était dans la ville de Toronto pour son travail. La rédactrice en chef était conviée à un défilé de mode d'un tout nouveau styliste en vogue. Les heures ont tournées, le temps a filé et son train est parti. Coincée pour la nuit, loin de chez elle et sans moyen pour rentrer auprès de son mari à ces heures tardives, Sonya était livrée à elle-même. Puis il y a eu cet homme, aux traits familiers mais au nom inconnu, tel un chevalier servant qui la sauve d'une nuit de solitude. Et contre toutes attentes, elle s'est pris au jeu sous le nom d'Anya. Deux inconnus sous la féerie d'une ville animée par les grandeurs et les possibilités infinies. Une spontanéité retrouvée, un passé récupérée. Anya, symbole de ce qu'elle aurait aimé être, allégorie d'une autre vie. (neuf.) Sa fleur préféré est l'orchidée, dans toutes ses déclinaisons, non seulement pour sa beauté mais aussi pour les multiples facettes de sa signification. Mélange d'amour et de désir, juste avec plus ou moins d'intensité. Elle dévoile un sentiment personnel qu'il est plus facile d'exprimer par un bouquet. Mais bien qu'elle est tentée, Sonya ne doit pas avoir la main bien verte car aucune n'a réussi à pousser dans son jardin, à son plus grand désarroi. (dix.) Quand Sonya ressent le besoin de se retrouver seule, de réfléchir quelques instants aux questions existentielles de sa vie, elle se rend au dow's lake. S'installant alors dans l'herbe pour observer les mouvements de l'eau qui reflète ses pensées les plus douloureuses. Elle peut y passer des heures mais elle y retrouve un sentiment de plénitude, d’apaisement.


"Dear Diary,
( beauté cachée )

Pour la partie "journal", c'était histoire de faire quelques lignes (une dizaine seulement) en décrivant ceux à quoi le personnage aspire. Son changement. Par exemple, mon personnage est confiné dans une routine avec son mari dont elle n'est plus amoureuse. Mais mariée depuis des années, elle n'ose pas divorcer. Dans ce journal, je vais faire un petit passage où elle parle de ses envies de s'évader de son mariage, l'histoire avec cet homme aventureux, etc. La chose qui pousse le personnage à changer de vie (que ce soit fait ou pas encore). Ce qui détermine ton choix de groupe.
Sonya."
pseudo, prénom valyria, aurélie. âge vingt-trois ans. pays (fuseau horaire) france (UTC+01:00). découverte de new day par mon petit doigt, ce coquin. dédicaces, ultime bafouille les lamas vont dominer le monde ! si si, j'vous jure.



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Dernière édition par Sonya Hawkins le Ven 30 Déc - 10:50, édité 3 fois
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Sonya Hawkins
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( Ven 30 Déc - 10:22 )

9 décembre 2016.
Les portes s’ouvrent. Tous se lèvent, les regards tournés vers elle. Les sourires radieux sur leurs visages. Les larmes pour certains au coin des yeux. Un soutien à son bras qui l’accompagne vers celui qui domine toutes ses pensées. Celui pour lequel son cœur bat. Celui qui lui donne des étoiles plein les yeux. Celui qui ne quitte pas son regard. Elle s’avance, vêtue de sa longue robe blanche bohème, vers cet homme debout qui n’attend plus qu’elle à ses côtés. Leurs regards ancrés. Il n’y avait aucune incertitude. Ils n’existaient qu’eux parmi toute l’assemblée. Son regard se perdait dans le sien. Ils n’avaient pas besoin de se parler, ils se comprenaient. Son cœur battait aussi fort qu’il pouvait l’entendre. Leurs mains se sont rejoins pour ne plus se quitter. L’union de deux cœurs. L’union de deux âmes sœurs. Il était son soutien, elle était son pilier. Aujourd’hui, ils se disaient oui, scellant une promesse à tout jamais.

Doux souvenir d'un mariage parfait, d'un amour inconditionnel. Sept années, jour pour jour, qu'ils se sont avoués une passion éternelle, une flamme brûlante qui les nourrissait. Un amour dévorant. Qu'en était-il devenu ? Ses fins doigts glissèrent sur le verre recouvrant leur photo de mariage. Cet instant gravé éternellement comme une preuve de leurs sentiments. Leurs sourires enjoués, leurs regards amoureux. Un passé qui semble si lointain. Un douloureux souvenir. Un cadre exposé par pure convenance. Sa main libre passait sur son front anxieux qui laisse apparaître un nerf gonflé sous sa peau. Comment en sont-ils arrivés là ? Année après année, sans qu'ils ne l’aperçoivent, cette étincelle perdait de sa lumière et de son éclat. Sonya reposait le cadre sur le bord de la table soigneusement nappée d'un drap blanc, avant d'attraper son verre de vin. Ce dernier posé au bord de ses lèvres, elle observait un instant la vaisselle bien dressée, les chandelles presque entièrement consumées et le plat préféré de son mari déjà bien froid. Dans un soupire, elle levait alors son verre vers la chaise vide en face d'elle. "Joyeux anniversaire de mariage, chéri." Ajoutait-elle, désemparée, avant d'engloutir d'une traite le reste de sa boisson. Pinçant ses lèvres, elle se demandait combien de temps pouvaient-ils encore demeurer ainsi ? Elle était fatiguée de faire des efforts, de chercher les petites attentions qui devraient être spontanées. Elle l'attendait, encore et toujours, comme une parfaite et sage épouse. Que faisait-il ? Où était-il ? Lui disait-il toute la vérité ? A force de croire à la particularité du couple, on finit par devenir aveugle. Le bout de ses doigts glissant sur le bord de son verre pour le faire chanter, son regard s'attardait sur les bijoux à son annuaire. L'un était un anneau en or dont un diamant trôné fièrement en son centre, symbole de sa demande. Et au dessus, un second plus simple de la même matière enlacé d'un or blanc, l'officialisation. Nostalgie des premiers instants de pur bonheur. Elle est restée un long moment à les contempler, faisant resurgir des moments complices lointains. Se mordant la lèvre, elle réussissait enfin à détacher son regard pour le pointer vers l'horloge du salon. Résignée au fait que son cher et tendre ne ferait pas irruption, elle penchait au dessus de la table pour éteindre les flammes, marquant la fin de son attente. Laissant tout en plan, elle se levait pour attraper son manteau à l'entrée, son sac et ses clés. Prête à passer la porte, elle jetait un dernier coup d'oeil à la table qui symbolisait en l'état une attente infinie et inutile. C'est en baissant le regard qu'elle fermait la porte derrière elle.

Poussant la porte du o'flaherty's irish pub, Sonya se dirigeait vers le comptoir où elle posa sa veste accompagné de son sac avant de s'installer. Ses coudes appuyés sur le bar et le visage entre ses mains, le serveur dût l'appeler plusieurs fois pour qu'elle daigne sortir de ses pensées et donner sa commande. "Dure soirée ?" Questionnait-il en lui servant sa vodka tonic. Mais Sonya se contentait d’acquiescer d'un signe de la tête, en lui lâchant quelques billets, suffisamment pour les verres qui allaient suivre. Elle se questionnait sur le sens de sa vie, sur les projets qu'elle avait fait autrefois et ses désirs d'antan. Les jeunes fougueux qu'ils étaient, plein de rêves et d'ambitions. Intrépides et aventureux. Mais qu'en était-il de ses rêves à elle ? Son désir d'ouvrir sa propre boulangerie, même pâtisseries avec ces spécialités qu'elle aimait tant confectionner. Son envie d'aventure et de voyage. Ce besoin d'excitation et d'adrénaline, étouffée dans la monotonie de tous les jours. Les boissons s'enchaînaient. Combien de temps était-elle là ? Une heure, ou peut-être plus. Sortant son portable de son sac à main, l'écran de veille n'affichait aucune appel. Aucun message. Le silence complet et destructeur. C'est alors qu'une voix qu'elle ne pensait plus jamais entendre l'a surpris de ses pensées : "Anya ?"


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